A propos

Mes bijoux sont fabriqués à la main de façon traditionnelle. La plupart sont des pièces uniques. Ce sont des bijoux-objets aux forts volumes, des pièces sculpturales alliant la matière généreuse de l’argent et l’éclat des pierres fines et des pierres précieuses.

Mes sources d’inspiration

Le style rocaille fait partie de mes références, à travers d’autres domaines que la bijouterie, comme l’orfèvrerie (les modèles Meissonnier, la manufacture Germain, Duplessis), mais appliqué à des sujets propre aux mythes populaires, aux contes pour enfant, à la pop culture, à la SF.

La technique de la cire perdue

Une partie des pièces est réalisée grâce à la technique de la cire perdue. Ce procédé permet d’obtenir des formes souples et fluides que le seul travail de forge et de ciselure ne permet pas. Si les premiers modèles ont été réalisés il y a 6000 ans, cette technique a connu une sorte d’apogée aux 17ème et 18ème siècles autour d’ateliers très célèbres comme celui de Thomas Germain, auteurs de motifs organiques d’une impressionnante maîtrise.

La glyptique

Art très ancien qui s’enracine dans les mythes assyriens et égyptiens et l’emploi abondant des phylactères gravés, la glyptique fait partie intégrante de mon travail de création. Elle consiste à mettre en forme par abrasion, à l’aide de fraises diamantées, des pierres dures et pierres fines telles que l’agate, la calcédoine, le jaspe mais aussi, de façon plus large, le corail, la nacre et la noix de tagua.

Dans la première moitié du XXè siècle, la noix de tagua (appelée aussi corozo) fut abondamment utilisée pour la mercerie et la coutellerie. On la trouve aussi dans la tradition des Netsuke, aux côtés du bambou, du coquillage et de l’ivoire, avec lequel la noix de tagua se confond, pour les plus grand plaisir des faussaires. Cette matière extrêmement dure, est aussi très légère, et elle peut être peinte ou vernie.

Ci-dessous: hommage à l’art du Netsuke. Collection (et création) personnelle.

Panier
Retour en haut